Politique

Sarkozy, est John Wayne, Bruce Willis, et Lafayette

Depuis plusieurs mois, le monde entier a constaté que nous avions un président aux multiples casquettes.

Gérant tous les dossiers, Nicolas Sarkozy s’investit partout à tel point que les ministres font figure de secrétaire, pour preuve encore hier au Guilvinec ou Michel Barnier n’a pas ouvert la bouche devant les pêcheurs, tant le président monopolisait la parole.

Du Guilvinec a Washington, il n’y a qu’un coup de pédale comme dirait Christine Lagarde, et entre les deux, Nicolas Sarkozy a endossé la panoplie de Rambo pour annoncer qu’il allait chercher les derniers français au Tchad un par un, si il le fallait. On était plongé dans un des plus mauvais film de Chuck Norris qui sont tous mauvais.

Arrivé aux Etats-Unis d’Amérique, Nicolas Sarkozy a trouvé les mots justes pour nous réconcilier avec ce pays que l’on a coutume de traiter de grand frère, et que le petit péteux De Villepin, actuellement aux prises avec la justice avait vexé.
Un discours répétitif à l’image de ceux qu’il prononce en France depuis six mois, voilà l’ennemi de Nicolas Sarkozy aux USA, que la presse nationale a déjà souligné !

Nicolas Sarkozy a conclu son discours à l’ambassade de France par cette envolée,
“Ce qu’on a voulu, c’est donner l’image d’une France nouvelle, d’une France jeune, d’une France ambitieuse, d’une France ouverte, d’une France multiple, d’une France qui rayonne, d’une France qui tend la main, d’une France qui n’a pas peur, d’une France amie des Etats-Unis d’Amérique”.

Des mots, toujours des mots, nous voici maintenant avec Sarkozy l’écrivain !
Pendant ce temps là en France, la grève de la SNCF se prépare pour mardi prochain, pour une durée non précisée, et les automobilistes se préparent selon les conseils de Christine Lagarde à devenir des cyclistes…
Pour ce qui est d’une France nouvelle, tu repasseras…