Politique

Didier.Maus: La monarchie depuis 58

Cet éminent professeur de droit constitutionel, indiquait qu’à son sentiment, dès l’élection du nouveau président, les belles paroles de Francois Hollande et autre quant à l’abolition des privilèges du chef de l’état, allaient passer à la trappe. Pour rester impartial, il rappelait que Chirac avait grâcié Maxime Gremetz le communiste, qui avait eu quelques déboires avec la justice… Jacques Chirac, magnanime, avec toute la classe politique! Ca peut servir…