Politique

Copenhague, une fumisterie non polluante et non financée

Le réchauffement climatique, la nourriture Bio, les énergies vertes, le CO2, sont les mots à la mode qu’il convient de prononcer dans toutes conversations pour avoir l’air branché.

Pour s’en convaincre, il suffit de discuter avec la jeunesse, celle-là même qui remplace la soixante-huitarde, et vous retrouverez la même exaltation qu’il y a quarante ans mais non plus sur les libertés mais l’écologie…

Dans quel but, cette agitation est orchestrée par les gouvernements?

Pour faire oublier les problèmes de pouvoir d’achat, de chômage et bientôt de l’effritement de vos économies et de vos retraites.

Nous ne reviendrons pas sur les personnages comme Al Gore ou Nicolas Hulot pour qui l’écologie est un business, le premier illuminant sa propriété comme un sapin de noël et pour le second les moindres déplacements se faisant en hélicoptère, le moyen de transport le plus gourmand en carburant…

Copenhague ne résoudra rien, car il faudrait des centaines de milliards chaque année si on voulait enrayer la pollution, hors tous les états sont en faillite, à commencer par les États- Unis.

Deuxième point, incontestablement le plus important, la surpopulation galopante.

le premier milliard d’êtres humains sur la planète se situe vers 1800.
Mais pour doubler ce chiffre, 130 ans auront suffi puisque en 1930, la Terre comptait deux milliards d’habitants.

En 1960, 3 milliards.

1974, 4 milliards.
1987, 5 milliards.

Ajourd’hui, nous sommes 6,7 milliards d’individus.

Rappelez vous il y a une trentaine d’année, des études étaient entreprises pour connaître la capacité humaine admissible pour la planète terre, et de nombreux experts avaient conclu que trois milliards étaient le seuil du supportable…

L’humanité est condamnée, c’est indéniable!

En 2050, il devrait y avoir dix milliards d’humains; comment va t-on les nourrir sans engrais, sans OGM, et avec d’énormes problèmes d’eau?
Question qu’il faut poser aux andouilles adeptes de José Bové.

Dans les années soixante, un hectare de terres cultivables nourrissait deux personnes, en 2050, ils seront six sur le même hectare, sauf que l’hectare sera beaucoup plus rare du fait de la montée des eaux et de l’urbanisation…

En l’état actuel, pour nourrir le monde entier, il faudrait que la production agricole double tous les 10 ans !

Avec moins d’eau, moins de surfaces agricoles et selon certains sans engrais, sans chimie…

A Copenhague, ce n’est qu’une surprise party pour le monde politique.